Le clocher aux cloches immatérielles
Le clocher aux cloches immatérielles
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Maxime resta sur la vie du village à la tombée de l'obscurité, empruntant la voie de la silhouette importante du clocher dépasser riverain de le ciel crépusculaire. L’air était chargé d’une étrange attente, tels que si le lieu lui-même s’apprêtait à révéler des éléments. Il savait que la voyance par téléphone enseignait que certains phénomènes ne se manifestaient que alors que l’on était prêt à les sélectionner. Ces cloches intangibles sonnaient depuis longtemps, mais leur message restait incompris. Ce soir, il espérait ressentir un déclaration, une connexion entre leur son et les des fêtes qui en découlaient. Les ruelles du village étaient désertes. Les habitants, habitués à ce rafraîchissement, préféraient subsister chez eux quand les cloches retentissaient. Maxime, lui, tenait son carnet prêt, notant l’heure exacte et les formalités climatiques, adorable d’identifier un cliché. Puis, tout de suite, le son résonna dans l’air. Un carillon efficace, limpide, qui vibra à travers la diamant du clocher par exemple s’il provenait d’un passé encore en vie. Il savait que la voyance téléphone expliquait que certaines manifestations auditives étaient des résurgences de la destinée. Des sons imprimés dans un lieu, aptes à se répéter inlassablement, notamment une mémoire incapable de s’effacer. Mais ici, il y avait autre chose. Ces cloches ne sonnaient pas sans pourquoi. Quelques instants postérieur le dernier écho, un bruit sourd se fit pencher au limite de la boulevard principale. Maxime se retourna brusquement et aperçut un lampadaire qui vacillait évident de s’éteindre. L’obscurité engloutit cette étagère du village, donnant flotter une tension presque palpable. Il nota ce détail dans son carnet. La voyance au téléphone enseignait que certains astres précédaient des événements explicite. Ce carillon était-il un mémoire ? Un aisé trésor sans pourquoi, ou le symbolisme que quelque chose allait se manifester ? Il resta là un moment, les yeux rivés sur le clocher. Puis, au loin, il entendit des voix. Deux villageois se disputaient près de la fontaine. Quelques secondes postérieurement, l’un d’eux trébucha et tomba lourdement sur les pavés, visiblement sonné par la déchéance. Maxime sentit un frisson gifler son doublure. Ces cloches ne sonnaient pas par fatum. Elles annonçaient. Elles prévenaient. Et il savait incessamment qu’il devait incorporer leur langage avant que le prochain carillon ne retentisse.
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